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Nous avons rencontré Moussa Sambalaye DIOP (son nom d'artiste) dans son atelier dans le Village des Arts à Dakar.

Il a étudié les beaux-arts à Dakar et à Paris, où il a également enseigné les arts visuels depuis 13 ans.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un regard sur son atelier au Village des Arts.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cet artiste de renommée international a déjà collaboré à des activités antérieures de l'Initiative Mundus maris, notamment par l'enseignement des élèves du Collège d'enseignement moyen (CEM) de Kayar dans son atelier au Village des Arts (pour un exemple récent, voir l'atelier sur les scénarios de changement climatique et la pêche).

 

 

 

 

 

 

 

Dans la suite vous voyez trois œuvres récentes. Voir aussi une courte séquences avec ses observations (vidéo).

 

1. Les caves

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2. Le bleu de Samba

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3. Un clin d'oeuil à Seeva DIOP

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sambalaye DIOP est un lébou et membre de la grande famille du grand marabout des pêcheurs, Seydina Limamoulaye. Il nous a parlé de la relation extraordinaire entre le grand marabout et la mer. Il est dit qu'à la naissance de Seydina Limamoulaye les pêcheurs ont noté que la mer au large de la côte de Yoff n'a pas été salée.

Ecoutez et voyez comment Sambalaye DIOP raconte l'histoire (vidéo).

Sambalaye DIOP nous parle aussi d'une manière animée sur une source d'eau douce près du mausolée du grand marabout juste à côté de la mer. Ce puit est beaucoup utilisé par les habitants de Yoff et leurs voisins. Plusieurs de ses oeuvres sont en quelque sorte liées à la mer et le marabout. Ce dernier est revendiquée par la communauté lébou comme un de leurs chefs spirituels à ce jour.

Sambalaye DIOP raconte des histoires de son grand-père sur le grand marabout des pêcheurs de Yoff (vidéo), Seydina Limamoulaye. L'une symbolise la relation étroite avec la mer d'une manière très spéciale - le marabout a ordonné à la mer de se retirer pour laisser la place pour les gens de s'installer ce qu'elle a fait.

L'artiste se voit imprégné de la culture lébou et sa relation particulière avec la mer, mais aussi dans la tradition du grand maître spirituel et d'un sens de la mercé, qui caractérise fortement son art.

Il voit son implication dans le projet Mare Nostrum comme un prolongement du travail déjà commencé, en collaboration avec Aliou SALL et avec le CEM à Kayar.