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4 août 2010, réunion préparatoire avec les étudiants de l'Université de Port Harcourt pour une exposition intitulée «Expressions du Delta du Niger»



 

En préparation de l'exposition future sur l'expression artistique en relation avec les événements / problèmes surtout dans la région du Delta du Niger et dans le monde, un forum de sensibilisation à l'exposition a été organisée par A.T. Ibim, Directeur exécutif de la Fondation pour le soutien à l'agriculture; Ineba Bobmanuel, l'UE-INSIDE; Okonofua, Artiste, Université de Uyo, et Chima Nwokocha, Université de Port Harcourt, pour les étudiants de différentes universités et facultés afin de les sensibiliser sur la prochaine exposition.

Le forum a débuté à 13h00 avec des remarques d'introduction d'A.T. Ibim. Elle a salué tous les présents, notamment les étudiants de l'Université de Uyo. Ensuite aussibien les organisateurs que les étudiants se sont présentés.

Rentrant dans le vif du programme, Ineba a expliqué le but de Mundus Maris par rapport à ce programme est d'apporter un soutient au développement des jeunes en encourageant leurs expressions artistiques vis à vis les sciences et les arts pour plus de durabilité de la mer, de manière à favoriser sa restauration et sa conservation, en même temps que la diversité biologique et culturelle y associée. Elle a en outre mis en avant les avantages de s'engager dans cette activité qui vise à propulser l'étudiant à un niveau supérieur. Elle fait référence à Stella Williams qui a lancé avec l'idée de travaux de peinture.

L'aspect intéressant, dit-elle, était qu'un étève de l'une des écoles dans le Delta du Niger est venu en premier lors d'une présentation artistique à Bruxelles. Par conséquent, elle les a encouragés à être créatifs, de pouvoir exprimer en affichage graphique des divers problèmes qui affectent la région et leurs solutions, avec un regard sur la nature et la peinture.

Elle a donc exhorté les étudiants à venir avec leur imagination en ce qui concerne la nature, la nourriture, le militantisme, des déversements de pétrole, le changement climatique ainsi que d'autres problèmes. Elle les a informés que seulement douze étoiles du lot seront sélectionnés indépendamment du champ de l'étudiant que ce soit la science ou l'art afin d'être envoyés en Allemagne pour l'exposition y prévue en 2011.

 

Adaba Ibim a présenté des images, des photos et des dessins réalisés par d'autres étudiants pour décrire ce qui se passe dans le monde, en particulier dans la région du Delta du Niger, afin de donner un aperçu aux participants sur ce qu'on attend d'eux. Les copies d'œuvres d'art ont également été remis aux étudiants. Adaba les a rassurés que la possibilité est ouverte pour tout le monde et qu'ils peuvent avoir ainsi accès à des liens pour mieux se préparer et de rencontrer des gens de différents endroits.

Okonofua, de sa part, a conseillé aux étudiants à saisir cette occasion. Voir ici l'annonce de l'exposition. Okonofua leur a donné la chance de poser des questions.

Un étudiant a demandé, «Est-ce des sculptures sont admises?»
La réponse: «Les dessins et les clichés exprimant la crise dans la région du Delta du Niger sont plus souhaitables, et la présentation doit être expressive. Mais le travail de l'argile pour les sculptures sera dans tous les cas admis dans le concours.»

Le prochain étudiant pose la question, «Y a-t-il des tailles spécifiques pour le travail?»
En réponse, Okonofua leur a dit que le format est spécifié. Pour le 2D, la taille est de 22 × 15 pouces ou de 559 mm × 381 mm ( ½ Imperial aux Etats Unis) et pour les travaux 3D, des sculptures, elle est de 30 cl.

 

 

 

Un autre étudiant a demandé: «Est-ce le concours est réservé aux étudiants inclinés sur l'art? Et quand commencé-t'il?»
«Il ne se limite pas aux étudiants en art, mais à toute personne qui a un esprit créatif. En ce qui concerne le démarrage, le concours est parti et il se terminera le dernier samedi de septembre 2010 pour la présentation», a répondu Okonofua.

En outre, il leur a conseillé de ne pas apporter dans le travail déjà fait par une autre personne, mais de faire eux-mêmes des travaux et que, lors de la présentation, il doit y avoir des preuves convaincantes que cela a été fait par l'étudiant. Par conséquent, ils doivent avoir une bonne préparation mentale et de développer leurs esquisses.

«Que dire de ceux présentant des clichés et quelle serait la taille de leur présentation?» A demandé à un étudiant.
La réponse a été, qu'il doit y avoir une composition pour soutendre la présentation finale. En ce qui concerne la taille, le travail ne doit pas être aussi petit qu'un passeport. Okonofua les a informés que la présentation durera entre trois et quatre heures pour que l'étudiant puisse faire la finition.

Un autre étudiant a demandé: «Peut-on faire de nombreux croquis?»
Il a répondu, oui, mais seulement une présentation sera faite. Pour le concours, c'est: un artiste, une œuvre.

«Comme les sculptures prennent beaucoup de temps, peut-on venir avec un croquis?» a demandé un étudiant.
La réponse était, oui, mais pas le travail fini.

Une autre question soulevée a été, «et si l'imagination est plus importante que la taille spécifiée?» «Alors l'étudiant doit réduire pour que la taille corresponde à celle requise», répondit Okonofua.

À la fin de la session de questions et réponses, un étudiant de l'Université de Uyo a exprimé sa gratitude aux organisateurs du programme. Il a reconnu que les problèmes, en particulier dans la région du Delta du Niger, et que des informations y afférantes seraient effectivement mieux représentées graphiquement. En outre, il a conseillé aux étudiants en sciences de ne pas se laisser intimider, et qu'un chacun avec un esprit créatif peut présenter quelque chose de bon et intéressant.

Ils ont été informés que la date de l'exposition sera le 30 Octobre 2010, 10:00 heures et que le lieu leur sera encore communiqués par courrier électronique. Par conséquent, ils ont noté leurs numéros de téléphone et adresses e-mail pour recevoir de plus amples informations. À la fin du programme, le Dr A.T. Ibim a remercié tous les étudiants ayant donné suite à l'invitation et les a exhortés à commencer à préparer leur travail dès à présent pour la date buttoire.

Le programme a été conclu par une prière de clôture par une étudiante de l'Université de Port Harcourt; elle a remercié Dieu pour le succès du forum, et a prié pour qu'il leur donne de bonnes idées pour illustrer dans leurs œuvres les problèmes dans le Delta du Niger et de leurs solutions. Aussi a-t'elle souhaité une longue vie au nom de tous. Cela a été suivi par quelques photographies de groupe.

La préparation de l'exposition attire déjà plus d'intérêt. Des invitations sont envoyées aussi à des sponsors potentiels pour assurer une bonne sensibilisation et la participation relative à la promotion de la devise de l'événement: «Les arts une substitution aux fusiles».


Ceci est l'Ecole secondaire de filles de Oromenike à Port Harcourt, Rivers State, Nigeria. L'entrée est protégée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vue de la cour de l'école.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les élèves de l'Ecole secondaire de filles de Oromenike écoutent toutes  le discours que leur fait Adaba Ibim à propos de l'Initiative Mundus maris, notamment le projet d'exposition.

Elles paient beaucoup d'attention quand Adaba explique comment elles peuvent participer et pourquoi cela pourrait être d'intérêt pour elles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À la fin de la session, Adaba discute encore avec les enseignants de l'école.

D'autres dans la scène, mais pas sur la photo sont Ineba Bobmanuel, une associée de Mundus maris, et Salomon, Chris Davis et Amadi Christian, tous de la Fondation de soutien à l'agriculture.

 

 


Le 12 octobre 2010 a été le marathon des visites aux écoles pour le Dr Adaba T. Ibim et ses collaborateurs de la Fondation de soutien agricole, et de Brenda Ogosi, tous des associés de Mundus maris. Ensembles, ils ont visité cinq écoles secondaires afin de les informer sur les activités des Mundus maris en faveur de la durabilité des océans et plus spécifiquement sur l'exposition d'œuvres artistiques prévue pour le 30 octobre. Le message clé a été d'inviter les écoles à participer à cette prochaine exposition inspirée par la devise «Arts au lieu des armes'. Les nouvelles écoles ont été visitées, à savoir l'Elekahia Senior Secondary School, Montess Junior Highschool, Faith International College et la Niger Grammar School. L'équipe a également effectué une visite de de répétition à l'Ecole secondaire pour filles d'Oromenike et Brenda Osogi a également visité Stella Maris Secondary School, toutes à Port Harcourt.


 

Tammy Solomon envoya ce compte rendu récapitulatif de l'effort. La première école à être visitée était l'école secondaire d'Elekahia. Lors de la visite, le Dr Mme A.T. Ibima a présenté l'Initiative Mundus maris au vice-principal (contenus académiques) de l'école, en mettant en exergue les activités déjà menées et encore prévues. Elle a également montré les dépliants et le site internet. Elle a souligné le but de la visite, à savoir l'introduction des jeunes aux principes de durabilité et de leur donner la possibilité de participer à une exposition pour jeunes de travaux artistiques. Les gagnants auraient montré leur travail en Allemagne à une exposition de jeunesse internationale prévue pour l'année prochaine. Les poignées de main ont été échangées avec le directeur dans son bureau et le Dr AT Ibim a donné quelques explications supplémentaires sur la poussée des maris Mundus de l'Initiative et de ses activités prochain au Nigeria.

Elle a montré comment des groupes nigérians avaient déjà participé à de précédentes occasions et que l'extension de la participation ouvrirait de nouvelles possibilités de réseautage pour les écoles et les jeunes.


Le principal et ses deux vice-directeurs ont été très intéressés par les activités prévues et ont convenu d'encourager la participation notamment des élèves des classes supérieures de leur école dans les activités à venir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Certains des jeunes intéressés ont posé pour une photo dans le bureau du Principal, accompagnés de leur enseignant en agriculture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les locaux de Senior Secondary School d'Elekahia comprend des salles de classe au rez de chaussée (seulement partiellement visibles sur la photo) et un bâtiment administratif et pour les enseignants.

Tammy, Davies et Christian de la Fondation pour le soutien agricole sont l'équipe infatigable ayant fait une grande partie des efforts, en prenant des notes, des photos et toute autre activité à l'appui au programme. Les photos sont de Davies et Christian.

L'arrêt suivant dans le programme de ces visites étaient la Faith International School, la Niger Grammar School et une nouvelle visite de Oromenike Girls Secondary School.

Le format typique des visites était d'informer les directeurs et les enseignants intéressés et ensuite montrer les exemples aux élèves les dernières œuvres de Mundus maris afin qu'ils puissent se faire une idée par eux-mêmes que la participation dans les activités à venir ouvrirait des possibilités de réseautage pour eux aussi.

Les démonstrations du site web de Mundus maris ont été particulièrement populaires.

Pendant que les élèves ont commencé à explorer le site, le Dr AT Ibim pourrait discuter avec les enseignants des arts et de l'agriculture sur les perspectives de la coopération à court terme et à plus long terme.


Après avoir recueilli et examiné les informations sur les activités à venir, les élèves intéressés ont posé pour une photo.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'arrêt suivant dans le programme des visites a été la Niger Grammar School.

Adaba et son équipe ont montré à nouveau les matériels d'information Mundus maris et ont invité le directeur, les enseignants et les élèves à s'engager activement dans les activités à venir, en particulier l'exposition à la fin du mois d'octobre.


Un certain nombre d'élèves ont été rapidement attiré et a montré leur intérêt à participer, encouragés aussi par leur principal et les enseignant des arts et de l'agriculture (la dame).


Pour terminer cette visite intensive, le directeur et les enseignants intéressés ont posé pour une photo avec Adaba, impatient de la préparation concrète et de l'exposition elle-même.

La même dynamique a été à l'œuvre dans les autres écoles visitées par Adaba et Ineba. Après cette journée d'information tourbillon, le prochain défi consiste à s'approvisionner en matériel pour la peinture et d'autres travaux artistiques pour le grand jour de l'exposition et de créer de bonnes conditions pour les jeunes à vivre pleinement leur créativité. Les résultats pourront bientôt être vu sur ce site.